©AfreePress-(Lomé, 22 septembre 2023)-Une trentaine d’experts en Hygiène Sécurité Environnement (HSE) du groupe OLAM, sont en réunion depuis jeudi 21 septembre 2023 à Lomé, ceci, dans le but d’harmoniser les procédures dans ce domaine.
Cette rencontre, ouverte par le Secrétaire général du ministère de l’Environnement et des ressources forestières, Koffi Aoufoh DIMIZOU, va permettre aux participants venus de cinq (05) pays du continent de formuler, à la fin, des recommandations visant à améliorer les performances des différentes filiales du groupe dans le domaine du HSE.
Une attention particulière sera accordée aux questions liées à la santé au travail, à la prévention des accidents et des blessures, ainsi qu’à l’évaluation des risques.
« OLAM met en place d’énormes standards et à travers cette réunion de Lomé, il y aura des partages d’expériences entre les experts venus notamment du Nigeria, de la Côte d’Ivoire, du Tchad, du Sénégal et du Togo afin d’harmoniser les procédures en Hygiène, Sécurité et Environnement au sein du groupe. En parallèle de notre activité principale qui est la production du coton, on fait tourner plus de quatre usines dans les pays respectifs donc, nous devons être sûrs que l’environnement dans lequel les employés travaillent soit sécurisé », a indiqué à AfreePress, Martin Drevon, Directeur général de la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT).
Le choix de Lomé pour abriter cette réunion de ‘’haut niveau’’ s’explique par les performances réalisées par la NSCT dans le domaine du HSE.
« En arrivant au sein de la NSCT, le groupe OLAM s’est mis en conformité avec la réglementation togolaise en termes d’environnement.
Il a mis aussi en place, au niveau des usines et des directions générales des actions HSE avec des coordonnateurs du domaine. En perspective, c’est de parvenir à zéro incident et permettre la production et le traitement du coton en temps réel ceci également pour le bonheur des paysans », a fait savoir M. Drevon.
Le Secrétaire général du ministère de l’Environnement et des ressources forestières a salué l’initiative de cette rencontre. Car a-t-il dit, les thématiques à aborder constituent des questions « très préoccupantes depuis la révolution industrielle du 19e siècle jusqu’à ce jour ».
« Mourir du fait de son travail est la mort la plus extrême et la plus choquante de la vulnérabilité du travailleur. Raison pour laquelle, il est important que d’importants efforts soient déployés, surtout en mettant l’accent sur la prévention afin d’éviter ces drames. Le groupe OLAM fait sa part, qu’il continue à en faire davantage et que les autres sociétés aussi l’emboîtent le pas », a-t-il conseillé.
Anika A.
